Pour mieux explorer ces méandres désORDOnnés, voici donc la carte du site.

Il m'est arrivé comme ça sans crier gare, puisque j'ai appris sa présence après avoir téléchargé la dernière table de virus de Viruscanner (en date du 25/7). Il s'agit d'un cheval de Troie du nom de TROJ_SIRCAM.A (Pas de parano : Vous pouvez cliquer sans risque, ce lien vous renvoie simplement sur sa fiche signalétique dans la virusencyclo.
Heureusement, on peut abattre le fourbe canasson. La preuve, c'est sur mon système restauré et nettoyé que je compose cette page. Pour un diagnostic et les solutions, cliquez...

Tiens, cheval, cheval (titre de Manset), en voilà un qui fait l'âne, ma soeur Anne (titre de Chedid)... peut-être parce qu'il entend siffler le train (titre de Richard Anthony). A moins que ce soit à cause des chevaux-vapeur qui l'attirent loin de son étable. Ah là, là, Animal on est mal, (retitre de Manset). Tout ça pour dire qu'il y a des nouveautés du côté des trains avec quelques vues de matériel roulant, moteur ou tracté.
Et puis comme on est sur le site d'un roman, je n'ai pu m'empêcher d'y ajouter un nouveau chat-pitre.

* Les auteurs du roman et du site sont-ils dotés d'un ego hypertrophié ?
Oui (surtout JB, logique : même dans les défauts, il tient à en faire plus), mais ils assument pleinement. Sinon, qui pourrait le faire à leur place ?
* Selon vous, ceux que ça énerve ont-ils le sens de l'humour ?
Sans doute pas.
* Les auteurs font-ils preuve de pédantisme ?
Si être curieux et passionné de tout, en espérant faire partager aux lecteurs cette passion, sans se résoudre imaginer qu'ils ont tous un QI de 2, c'est être pédant, alors oui, on est pédants. Comme des phoques.
* Les auteurs ont-ils pompé honteusement sur leurs petits ou grands camarades souvent cités dans la critique ?
Si on a pompé, ce n'est pas honteusement, c'est même rappelé dans les références, et nos sources d'inspiration ne sont pas celles que l'on évoque en général. Raison toute bête : on n'a guère le temps de savoir ce qu'écrivent les autres à peu près au même moment. Et quand on parle du temps, de réseaux, de manipulations cybernétiques, de génétique, d'héraldique, d'informatique, de poliorcétique, d'histoire, de rock and roll, de multinationales, de la société médiévale et de la société du spectacle, de jeux vidéo, de chats, de milices privées, d'astronomie, d'automobile, d'urbanisme et autres obsessions diverses, on court le gros risque de frayer des chemins déjà empruntés.
* Pourquoi cette interminable accumulation de références et de remerciements en fin de volume ?
Ca fait justement partie du jeu, un rien perecquien (tiens, en voilà une source d'inspiration inspirante, surtout pour nos egos hypertrophiés). Clin d'oeil aux "notes & documents" des Découvertes Gallimard mais surtout aux interminables dédicaces imprimées en corps 4 (en général, dans l'ordre, à : 1/ Dieu 2/ aux parents 3/ aux producteurs 4/ aux nombreux fans) qui sont le passage obligé des fins de livret de certains CD. Or, il n'aura pas échappé qu'une bonne partie du bouquin (et du site) traite de musique.
* Pourquoi avoir sorti ce roman de S-F dans une collection dévolue à la Fantasy ?
Parce que c'est un genre de question que se posent surtout les critiques et pas du tout les auteurs.
* Oui, mais quand même, pourquoi avoir sorti dans une collection de Fantasy ce bouquin de S-F ?
Parce que sans doute Doug Headline ne s'est pas non plus vraiment posé la question.
* Oui, mais enfin, malgré tout, il aurait eu plus sa place dans une collection de S-F, non ?
Non. Avez-vous une autre question ?
* Non, mais il n'empêche...
Qu'on l'abatte !
[On l'abat. Le calme revient]
Une autre question ?
[Un grand froid gagne l'assistance qui se carapate sans demander son reste et file at home poursuivre le débat en virtuel sur le Net. C'est moins risqué. De leur côté, les auteurs se dématérialisent dans un vaste épandage d'effluves gazeux pour réintégrer le métamonde.

(1):
Ecrit ou traduit, en plus... mine de rien, ça prend tellement de temps qu'avec les recherches et la documentation, on n'a plus vraiment le temps de lire autre chose.

Vous voulez une preuve qu'il n'y a pas qu'AAJN, Magnus Magister Rhodo et Ordo comme représentants du death metal grec ? Cliquez ici pour le compte rendu du concert de Septic Flesh au Dunois.
Si vous êtes plus branché speed-prog ou speed-thrash, Cliquez là pour celui de Savatage et Megadeth à l'Elysée.

Samedi 19 mai : Pain of Salvation, Ark et Regency à l'Elysée Montmartre.
Avec en bonus, Mike Portnoy, le batteur-fondateur de Dream Theater (mais aussi de Transatlantic, Liquid Tension Experiment et quantité d'autres projets) qui avait été invité l'après-midi par Your Majesty, le fan club de DT qui organisait sa convention.
Le résultat fut une incroyable jam de vingt minutes en fin de concert avec les Suédois de Pain of Salvation...
Pour en savoir plus, rendez-vous à la page rocKritiK...