TRUCS & BIDOUILLES INFORMATIQUES |
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"C'est en forgeant qu'on devient forgeron,
et c'est donc en hackant qu'on deviendrait ah... :o-)" |
INTERNET |
VIRUS |
WINDOWS |
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LIENS | ||||
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A propos de liens, deux à cliquer pour ceux qui recherchent les adresses de constructeurs de matériel ou de logiciel -- dont certains ont tendance à nous faire le coup de l'"ERREUR 404" (:-@ à une vitesse de start-up en crise de Nasdaq...
Donc, pour se tenir à jour : une aux Etats-Unis, l'autre en France, tenue par Philippe Deschamp à l'INRIA. Toujours utile ! Autre bon plan : Pour les bidouilleurs et les autres qui cherchent désespérément les références et l'origine d'une carte-mère plus ou moins exotique : la page d'identification très complète d'Amibios. Idem, lorsqu'il s'agit de configurer les cavaliers (maître, esclave ?) d'un disque dur OEM dont on n'a bien sûr perdu (ou jamais eu) la notice et dont le boîtier est évidemment vierge de toute étiquette et aussi impénétrable qu'un trou noir. Eh bien, le salut, justement est sur Blue Planet, la bien nommée, tableau et schémas explicatifs à la clef. Côté logiciels, Soft astuces, au nom suffisamment explicite, Pour ceux qui ont (hélas ?) craqué pour Windows XP, le système d'exploitation passoire-prise de tête (malgré ce qu'en dit une partie de la presse spécialisée, étrangement muette sur ses failles impardonnables), ce site pourra les aider, Enfin, parmi les multiples forums d'aide, bidouille et conseils techniques, encore une fois, les pages et les conseils de Memoclic.
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UN CAMELEON SPEEDE AU MOTEUR GOZILLA Un nouveau petit navigateur rapide et léger |
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Il est petit (3Mo à télécharger), léger (interface claire), hyper-rapide à l'ouverture comme à la lecture des pages (moteur Gecko de chez Mozilla, d'où son nom), récupère les signets Netscape et les favoris MSIE, bref, il reprend la philosophie d'Opera à ses débuts (sauf le multifenêtrage, mais la vitesse d'affichage et le caractère volontairement minimaliste des bouton l'interface compensent..). Il s'appelle K-meleon. On peut l'essayer sans risque en cliquant ici. Ne serait-ce que pour sa capacité à lire (en échange d'un pack complémentaire d'afficher les pages en chinois, japonais ou coréen...
Gag : le programme étant en open source (puisque basé sur Mozilla), tout le monde peut s'amuser à le développer. C'est ainsi qu'on en trouve déjà des traductions en une vingtaine de langues - y compris le français et le français québecois, à quand le joual et le corse ?;-) - une foule d'animations du logo au reptile vert et surtout (plus sérieusement, quoique...) toute une série de skins pour faire ressembler le navigateur à Internet Explorer, Netscape ou Opera, avec des présentations clonant Windows, NT, NX, Linux... bref, le caméléon justifie entièrement son nom, d'autant qu'il exploite sans problème les plugins Netscape, Java et Shockwave déjà installés, et qu'on peut créer autant de profils que l'on veut... Autre caractéristique sympa du petit reptile (clone rigolo de Mozilla, promis, qui sait, au même avenir que certain pingouin, c'est tout le mal qu'on lui souhaite), non seulement il assure la récupération des favoris Explorer et bookmarks Internet, mais leur affichage simultané sur la barre de menus, cette dernière également configurable à loisir... En revanche, choix délibéré des programmeurs - et contrairement à Opera qui est un logiciel MDI (multiple-user interface : plusieurs fenêtres dans une même session) ou Mozilla qu'on peut reconfigurer dans l'un ou l'autre mode, à l'instar de la plupart des visualiseurs graphiques par exemple, - il est de la catégorie des programmes SDI ou Single User Interface : chaque ouverture de fenêtre ouvre une nouvelle session du logiciel, mais vu la légèreté du programme, ce n'est pas rédhibitoire. Par ailleurs, une bonne partie des fonctions ne sont pas encore accessibles par des boutons mais par de bonnes vieilles commandes en ligne, genre about:plugins, about:cache, about:history..., d'autres par des macros qu'on peut récupérer sur le site (ajouter une commande "mailto:" au menu, par exemple. Mais si l'on veut naviguer *vite* sans s'encombrer d'accessoires (messagerie instantanée, courrier, éditeur html, gestionnaire de forums, etc.) dont on peut se passer ou qu'on peut trouver ailleurs, ce navigateur s'avère une solution intéressante. A suivre en tout cas avec intérêt. |
SPA'MON PROBLEME ? Pas sûr... |
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ORBL : Si votre BAL électronique se retrouve encombrée de maileries de toutes sortes qui vous gonflent (vous et vos factures...), c'est que votre fournisseur d'accès ou votre service de messagerie font mal leur boulot de filtrage. Des mesures s'imposent.
Le filtrage et le paramétrage interne pour rejeter les spams, c'est bien, n'importe quel client de courrier peut s'en charger ou à défaut, il y a des utilitaires pour cela, mais mieux vaut déjà combattre le mal à la racine. D'abord éviter de cliquer partout comme un parkinsonien sous coke et laisser traîner son adresse sur les forums, formulaires et autres demandes de renseignements. Ensuite, passer par un relayeur de courrier qui jouera le rôle de pare-feu en se chargeant de faire la police antispam et antivirus. Les Canadiens de Bigfoot par exemple ont à ce titre créé l'un des plus efficaces. Leur service "Plus" est devenu payant mais l'option minimale (bien suffisante) reste gratuite. En dernier recours, dénoncez votre FAI qui ne fait pas correctement son boulot de filtrage des adresses douteuses. Pour savoir comment y remédier, contactez l'ORBL (Open Relay Black List) qui s'en chargera pour eux... Le site est en anglais mais demeure parfaitement explicite et il est bourré de liens utiles, en particulier vers "stopspam" qui vous aidera à décortiquer les arcanes du transfert de courrier électronique... Si malgré tout, ça ne donne toujours rien, changez de fournisseur d'accès. Avec un remailer justement, pas d'hésitation, puisque vous gardez à vie l'adresse de courrier électronique que vous vous êtes choisie. Inutile de changer de papier à lettre, de cartes de visite ou de bombarder vos contacts de tonnes de mails rectificatifs. |
SPA'MON PROBLEME ? (bis) Pas sûr... |
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Supposons que vous ayez mis en pratique toutes les mesures indiquées plus haut pour tenter de vous débarrasser des spams. Vous êtes même allé jusqu'à vous inscrire sur des listes de désabonnement (si, si, ça existe), comme celle que gère la direct Marketing Association, équivalent de nos si efficaces (;-)) syndicats de vente par correspondance, voire sur Removeyou qui se qualifie "le plus grand réseau de désabonnement du Web"(sic).
La procédure est en générale la même : vous êtes cordialement (et bien sûr gratuitement, manquerait plus que ça) invité à fournir la ou les adresse(s) mail incriminée(s) - excellent moyen pour certaines de ces officines de vérifier que ladite adresse est bien valide. Par mesure de précaution, on vous précise que vous allez recevoir un mail de confirmation à renvoyer pour finaliser la procédure. C'est là l'astuce. Car bien entendu, ces divers services (pour éviter en particulier les poursuites des agences fédérales américaines de protection du consommateur) sont tenus de tenir leurs engagements. Et ce mail de confirmation (protesteront-ils) est bien la preuve de leur honnêteté, puisqu'envoyé à l'émetteur, il permet d'éviter toute confusion et toute utilisation d'une adresse à l'insu de son titulaire. Mais voilà, ce qu'ils oublient de préciser, c'est la petite entourloupe qu'ils ont concoctée. On vous demande de répondre à leur courrier en renvoyant simplement celui-ci. Ce que vous faites en cliquant sur "Reply". Et là, votre client de mail vous renvoie un message sybillin du serveur, du genre "Erreur 550", "adresse non valide", "String not recognized" et autres mises en garde. Enervé, vous cliquez malgré tout, le message part. Apparemment. En fait, il s'est perdu et n'atteindra jamais son destinataire. Résultat, vous n'avez pas confirmé votre effacement des listes de diffusion et de publipostage électronique, le service de "désabonnement" est donc légalement dégagé de toute contrainte et dans les prochains jours, vous allez vous retrouver devant un déluge renouvelé de courriers publicitaires. Tout faux, retour à la case départ, vous ne touchez pas les vingt mille francs. Que s'est-il passé ? Ouvrez le courrier reçu. Dans le menu "message", cliquer sur "voir la source" ("view source"). Selon les logiciels (Eudora, Outlook, Messenger, Foxmail...), la procédure diffère légèrement mais tous possèdent cette fonction. Dans l'en-tête, vous allez découvrir, devant le champ "return-path" (adresse de retour), l'adresse "nobody@www.machintruc.com". Et voilà : les petits filous ont pris soin de faire transiter leur message par un routeur de courrier qui filtrera votre réponse et l'enverra dans le proverbial Goulp du sorcier Shadok d'où elle ne ressortira jamais. Or c'est justement là que se dirige votre réponse si vous avez cliqué sur l'icône idoine de votre client de mail. Si vous voulez que la confirmation de cette missive de désistement atteigne son destinataire, copiez l'adresse indiquée à la ligne "From:" et copiez-la telle quelle dans le champ destinataire de votre réponse. Voilà. Ce n'est pas la panacée, mais au moins êtes-vous sûr que le message arrivera quelque part. Cette petite manip est valable pour la majorité des courriers qui vous arrivent plus ou moins masqués. Bien évidemment, si l'émetteur a pris soin de se protéger habilement, le champ "From:" peut se révéler également bidon, mais ça ne coûte rien d'essayer. |
ENVOYER SES MAILS (COÛTE QUE COÛTE) Quand le serveur d'envoi est en rade |
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Parfois, lorsqu'on envoie ses mails, on reçoit l'irritant message :
"connexion impossible à établir" "délai d'attente dépassé".
Pas de panique ! Cela veut dire que le serveur de mail de votre fournisseur d'accès est (transitoirement) saturé, voire que l'un de ses serveurs est en rideau. Dans ce cas (et si vous êtes vraiment pressé d'envoyer vos mails), vous pouvez contourner la difficulté : il vous suffit de remplacer dans les paramètres de votre client de mail le nom de serveur d'envoi en clair (par exemple : "smtp.free.fr" ou smtp.orange.fr") par l'un de ses équivalents numériques. Il y en a au minimum 2 et le plus souvent 4. On peut les obtenir auprès de son fournisseur d'accès. Pour garder l'exemple de free, par exemple, il s'agit de :
213.228.0.44
213.228.0.62 213.228.0.169 213.228.0.176 Ce serait bien le diable qu'une au moins ne fonctionne pas. Sinon, il suffit d'ouvrir une fenêtre de commande DOS (voir la procédure ci-dessous) et de taper la ligne de commande suivante : ping smtp.free.fr. La première adresse numérique active sera indiquée. En outre, en entrant "en dur" (c'est l'expression consacrée) l'adresse IP du serveur de courrier, la négociation du protocole (et donc l'envoi) se font plus rapidement. Revers de la médaille, ce serveur précis peut bien sûr être celui qui est en rade. Dernière question: comment choisir le serveur qui marche à un moment m donné ? Plutôt que de reconfigurer plusieurs fois son client de mail (cliquer sur "options", "compte", etc.), ce qui est longuet, voici une autre procédure qui va bien : Rendez-vous sur Démarrer|exécuter. Sur la ligne de commande qui apparaît, taper "command" (ou "cmd" pour certaines versions de Windows). Dans la fenêtre Dos qui s'ouvre, il suffit alors de taper : ping xxx.xxx.xxx.xxx (en entrant successivement les diverses adresses IP du serveur mail) et de relever l'adresse pour laquelle le ping marche : par exemple, ici, l'adresse 169 (adresse principale du serveur smtp de free en l'occurrence) est en rade, alors que la 176 fonctionne. C'est donc celle-ci qu'il faudra entrer dans ses paramètres d'envoi de courrier. Bien sûr, on peut également contourner la difficulté en ayant plusieurs fournisseurs d'accès ! Enfin, pour ceux qui sont résolument allergiques à toute fenêtre DOS ou entrée de ligne de commande pour effectuer un ping, un petit utilitaire (gratuit) comme NetStat Live permet aisément d'effectuer la manip : un clic droit dans la barre des tâches pour ouvrir la fenêtre du logiciel, clic sur Remote et dans la boîte de dialogue de ping, entrer l'adresse IP. Dans l'exemple, "213.228.0.62". Le résultat est immédiat. S'il y a un ping, c'est que l'adresse est active... Inversement, pour rechercher l'adresse numérique d'un serveur de courrier, il suffit de taper son nom en clair précédé (en général) de smtp par exemple : "ping smtp.free.fr" Même manip pour connaître l'IP du serveur de courrier sortant, mais cette fois, on fera (en général) précéder le nom du serveur de "pop" au lieu de "smtp" : "ping pop.free.fr", pour reprendre l'exemple de ce même FAI. Nota : On peut retrouver le libellé exact des adresses principales de serveur de courrier en allant les chercher par exemple ici ou bien là). Elles sont le plus souvent précédées par "smtp" (courrier sortant) ou "pop" (courrier entrant), parfois par "mail". En prime, on a le temps de réaction, ce qui permet d'évaluer la saturation éventuelle du ou des serveurs : 8 ou 10 ms, tout baigne, le courrier partira rapidement, 20 ms, voire 50 ou plus, ça se bouscule au guichet du bureau de poste. Pour en revenir à NetStat Live, profitons-en pour rappeler une fois encore que ce petit graticiel tout léger qui fonctionne sous toutes les versions de Windows dispose de quantité de fonctions de surveillance des connexions réseau (internes et externes) et de statistiques de débit (instantané, mensuel cumulé, en montée et en descente, en bits ou en octets, nombre de connexions ouvertes, charge du processeur, affichage de l'adresse IP et des adresses DNS contactées, etc). |
TROMPER LE REGISTRE ? C'est facile et ça peut être utile |
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On conseille d'employer régulièrement un utilitaire pour nettoyer cet élément essentiel au fonctionnement de Windows qu'est la base de registre.
Caché sous les fichiers "User.dat" et "system.dat", on peut y accéder par l'éditeur "regedit". Mais pour le nettoyer et l'entretenir, il faut se tourner vers des utilitaires comme ScanReg (fourni avec Windows), EasyCleaner, un freeware finlandais ou - le plus efficace des trois, mais il n'est pas gratuit - RegistryCleaner, fourni dans le bundle de Fix-It utilities avec de puissants outils d'édition, de défragmentation, de réparation et de sauvegarde. Pourtant, tous ces programmes coincent parfois de manière irritante devant des problèmes tout bêtes dus à la configuration "Plug and Play" et "Hot Swap" des versions récentes de Windows : Puisqu'elle permet d'installer, ôter ou changer des périphériques à chaud sans redémarrage, on pouvait espérer que la partie logicielle du système suivrait le mouvement sans obliger l'utilisateur à définir des configurations personnalisées. Cela marche (plus ou moins) bien pour les pilotes (même s'ils ne se désinstallent pas tous et finissent par engorger la mémoire et les ressources), moyennement pour les raccourcis et les liens de l'Explorateur qui ne se mettent pas à jour, même après un appui sur la touche F5 pour réactualiser les paramètres et l'affichage, et cela marche au contraire trop bien pour certains paramètres comme les attributions de lettres de lecteur (sauf les *lecteurs* de CD et DVD auxquels on peut attribuer une lettre fixe), qui se baladent au gré des branchements de périphériques de sauvegarde (disquettes, cartes, zips, disques durs... Un exemple : vous utilisez le programme Backup pour effectuer régulièrement une sauvegarde sur un support externe (disque, Zip, streamer...) que vous branchez donc à la demande. Le programme inscrit alors dans la base de registre un lien qui pointe vers le fichier "F:\sauvegarde.qic" en supposant que F est la lettre du lecteur externe dédié à cette opération et que votre sauvegarde s'appelle ainsi. Le backup achevé, vous échangez votre support contre un autre support d'archivage -- disque dur, carte mémoire, graveur... Jusque là, pas de problème. Mais si vous vous amusez à ouvrir une session de nettoyage/réparation du registre, l'utilitaire va vous indiquer un lien rompu qui pointe vers une entrée inexistante (en l'occurrence "F:\sauvegarde.qic"), ce qui certes est devenu vrai, et vous propose illico de l'effacer du registre. Ce n'est pas grave en soi, sauf que lorsque vous rouvrirez le Backup, l'entrée aura disparu de la liste. Et ce cirque se reproduira chaque fois que vous jouez au grille-pain avec vos lecteurs extérieurs pour procéder à une sauvegarde. * La solution ? Toute bête : ouvrir le calepin, écrire quelques lignes du genre "ceci est une sauvegarde bidon pour tromper son monde", l'enregistrer sous le nom "sauvegarde". Ouvrir l'Explorateur, faire un clic droit dessus, choisir "renommer" dans le menu contextuel. Changer alors l'attribut du fichier, pour le passer de "sauvegarde.txt" à "sauvegarde.qic" (on supposera que vous avez paramétré votre bureau pour que l'Explorateur affiche les extensions des noms de fichier). Désormais, le registre ne râlera plus. Ce genre de tromperie infantile fonctionne étonnamment bien avec tout un tas de programmes qui pointent désespérément vers des éléments qu'ils jugent indispensables à leur bien-être. Ce fut naguère le cas avec les navigateurs Internet ou les clients de courrier qui voulaient absolument avoir un "Winsock" avec ses bibliothèques dans leur propre répertoire, tandis que Windows s'étranglait dès qu'il en détectait plus d'un installé sur le système. Tous les premiers usagers de Compuserve ou d'AOL (et plus tard d'Infonie) ont dû en passer par là... Cela se produit également avec certains navigateurs Internet exotiques mal reconnus par les serveurs lorsqu'on veut ouvrir un site avec frames ou scripts, télécharger un plug-in Netscape ou simplement installer en local un utilitaire web. Là aussi, la parade consiste à écrire dans le répertoire où se trouve le programme un fichier texte de quelques lignes qu'on s'empressera de rebaptiser "Netscape.exe". En général, ça marche ! |
BIDOUILLER LE REGISTRE ? Si, si, c'est possible |
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Certes, au début, ça fait peur, mais on peut toujours voir à quoi ressemble la chose en ouvrant le registre Windows avec un utilitaire ou simplement en tapant regedit dans la fenêtre "exécuter".
A force de bidouiller mon système et de faire des réinstallations successives, j'ai fini par découvrir qu'on pouvait adapter finement Windows 98 à ses besoins personnels, sans même devoir recourir à des utilitaires externes. Cela dit, ils sont plus conviviaux, facilitent la tâche et évitent les galères noires (ou bleues) ;-)... Bref, prudence, car contrairement à ce qui se passe avec tous les autres fichiers, les modifications effectuées sur le registre prennent effet en temps réel. Ici, pas de "oups" (en jargon informatique "control-Z") pour annuler. Et si vous avez effacé ou modifié malencontreusement une entrée, surtout pas d'extinction en catastrophe (de toute façon jamais recommandée), ambiance "on fait comme si de rien n'était" : au redémarrage, Windows recharge en effet par défaut la dernière version non corrompue du registre, mais à condition uniquement que vous ayez fait une sortie normale. Sinon, c'est le registre bidouillé qui refait surface et vous êtes bon pour un redémarrage sous DOS et une restauration manuelle. Par défaut, les cinq dernières sauvegardes de la base de registre (effectuées au démarrage sous Windows 98 ou ME, à la fermeture sous Windows 95) sont conservées dans une archive windows (de la forme rb00x.cab) placée dans le dossier: c:\windows\Sysbckup\ Pour en restaurer une, redémarrer en mode DOS:
garder le doigt sur F8 puis choisir le menu:
Taper:
La liste des cinq dernières sauvegardes s'affiche avec la date correspondante. Sélectionner au clavier celle désirée, valider ce choix avec la touche [Entrée]. Redémarrer.
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La base de registre est hiérarchisée en 6 grandes catégories référencées HKEY (pour Hierarchical KEY : "classes hiérarchiques"). Pour chacune, les entrées sont regroupées en arborescence de sous-dossiers (correspondant aux catégories placées entre [crochets] des classiques fichiers d'initialisation INI).
Chaque clef se voit attribuer une valeur initiale. Par défaut, elle est indéterminée ou nulle. Elle apparaît sous le nom : "(Défaut)". Selon le type de clef, ces valeurs vont pouvoir revêtir trois formes :
Grâce à ce classement hiérachique (la base de registre se présente sous la forme d'un emboîtement de dossiers), il devient *relativement* facile de s'y retrouver.
Les 6 classes évoquées sont :
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Précaution indispensable (faut-il insister ? Oui) : TOUJOURS sauvegarder la base de registre existante avant toute manipulation.
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* Vous ne travaillez pas en réseau ?
Vous n'avez donc pas besoin de l'énervant "Déconnexion de Machin" qui apparaît au-dessus de la ligne "arrêter" du menu "Démarrer'" (à ce propos, il faudra que quelqu'un m'explique pourquoi il faut cliquer sur "démarrer" pour arrêter la machine, puisqu'on ne se sert jamais du bouton "démarrer" pour démarrer celle-ci. Tout au plus pour RE-démarrer mais pour ça, il faut d'abord l'arrêter... en ouvrant le menu "Démarrer".)
* Vous vous passeriez volontiers du menu "Favoris" de la barre de démarrage ? (menu qui de toute façon fait double emploi avec celui d'Explorer. Et de toute façon, vous pouvez fort bien ne pas utiliser Explorer mais Netscape ou Opera).
* Vous voulez rebaptiser les dossiers "Program Files" ou "Mes Documents" ?
Parce que vous utilisez encore des programmes à noyau 16 bits (DOS ou Windows) incapables de s'installer dans un dossier intitulé "Program Files" (parce que le nom est trop long et comprend une espace) ou parce que ça vous paraît plus cohérent d'avoir par exemple un dossier "Progs" et un dossier "Docs". C'est également plus simple pour le système de ne pas avoir à gérer des noms et des chaînes interminables, du genre :
* Vous voulez classer vos documents perso où bon vous semble ?
Même principe.
* On peut en profiter pour choisir le répertoire de son choix pour le cache d'Internet Explorer. (valeur : "cache") et en profiter pour le déporter sur un disque externe, voire sur un disque virtuel (ram disque) créée en mémoire vive. Ce sera toujours ça de gagné en place et en vitesse de navigation entre les dossiers.
* Idem pour le dossier "Mes Images"
* Se faciliter l'installation de Windows
Commencer par recopier l'intégralité du répertoire "Win98" du CD d'installation sur le disque dur, dans un dossier nommé à votre guise ("WinSetup", "WinInstall", "Win98") à la racine du disque.
HKEY_LOCAL_MACHINE\Software\Microsoft\Windows\CurrentVersion\Setup
L'entrée SourcePath y indique (les Anglicistes l'auront deviné...) le chemin du dossier contenant les fichiers d'installation de Windows. Par défaut, il s'agit de :
"D:\WIN98" (si l'installation s'est faite à partir d'un CD-Rom placé en lecteur D:)
Il suffira dès lors de remplacer celle-ci par le chemin d'installation sur votre disque dur.
Dans l'exemple choisi :
SourcePath: "C:\Win98"
C'est tout. Mais on est en droit de se demander pourquoi une modification aussi banale est impossible à réaliser sans devoir se livrer à des manips sinon hasardeuses, en tout cas bien peu ergonomiques.
Petit défoulement final
HKEY_USERS\.DEFAULT\AppEvents\EventLabels
Gaffe : il y a un point avant DEFAULT (le mieux de toute manière est de copier-coller les valeurs indiquées). Et là, amusez-vous à remplacer les intitulés d'événements "Open", "Close", "SystemHand", "SystemQuestion" par des trucs du genre "Attention, ça démarre", "On ferme", "C'est pas pour dire, mais ça coince" ou "Kesta, toi ?". Succès garanti auprès des utlisateurs non prévenus lorsqu'ils verront ce genre de commentaire apparaître dans une austère fenêtre. Une bonne partie de ces manips sont accessibles avec des utilitaires comme Fix-It de Ontrack ou même le Tweak UI de Microsoft, qui s'installe dans le Panneau de configuration. Cet utilitaire non documenté hérité des "bonus" de Win 95 est livré avec certaines versions de Win 98. Il en existe une version francisée. |
ACCELERER SA CONNEXION Franchement : vous surfez ou vous ramez ? |
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Si votre modem vous chante "Rame", voici quelques astuces susceptibles d'accélérer la connexion. Deux points d'intervention, le nombre de connexions simultanées autorisées (le protocole TCP/IP permet en effet d'ouvrir plusieurs appels de page sur un même serveur), la "limitation de vitesse" du modem. Pour ce faire, il faudra bidouiller quelque peu les fichiers système (base de registre et INI de Windows. Comme de juste lorsqu'il s'agit de toucher à la base de registre, suivre d'abord les précautions d'usage (sauvegarde préalable)... Et plutôt que regedit, préférer un utilitaire comme RegistryEditor (d'Ontrack pour procéder à ces modifications sans craindre l'infarctus :-) Pour Win.ini et system.ini, en revanche, aucun risque, mais en cas de doute, effectuer les modifs par le truchement de msconfig au lieu du calepin, cela permet ainsi de revenir aisément à la situation antérieure. Enfin, pour ceux qui sont en adsl avec windows 95, 98 ou ME (ou qui répugnent à bidouiller leur BdR, le remède miracle a pour nom Tweakmaster. Ce logiciel est un shareware, et lorsqu'on le désinstalle, il réinstaure la configuration d'origine, mais rien n'empêche auparavant d'avoir recopié les paramètres qui vont bien... Rien n'empêche surtout de payer la (modique) licence pour ce logiciel. En prime, on bénéficiera d'un accélérateur d'adresses DNS et d'une remise à l'heure automatique de son horloge interne. Et surtout, d'une optimisation permanente (et finement paramétrable) de sa connexion. Utile en particulier si l'on fait une réinstallation ou une mise à jour de Windows. Aller dans : HKEY_CURRENT_USERS\Software\Microsoft\Windows\CurrentVersion\InternetSetting
HKEY_LOCAL_MACHINE\System\CurrentControlSet\Services\Class\Modem\00
HKEY_LOCAL_MACHINE\System\CurrentControlSet\Services\Class\Net\0000
HKEY_LOCAL_MACHINE\System\CurrentControlSet\Services\VxD\MSTCP
[Ports]
Démarrer|Config Modem|
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PETITE MISE A JOUR Si votre système fait preuve d'instabilité... |
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Si votre Windows fait preuve d'instabilité (les mauvaises langues diront que dans ce cas, tout est normal), il est peut-être utile de vérifier que les fichiers-système ne sont pas corrompus.
Ce genre de problème se pose à la longue, à force d'installations et réinstallations successives de logiciels, de "mises à jour *critiques*" (le terme ©Microsoft ne pourrait être mieux choisi) voire à la suite d'une restauration ou d'une réinstallation partielle consécutive à un plantage : on se retrouve avec des fichiers anciens qui ont écrasé des versions plus récentes, des fichiers dédoublés, mal répertoriés ou corrompus. Solution : Après un passage à l'antivirus des répertoires-système (c:\windows et sous-répertoires), ouvrir l'utilitaire de vérification des fichiers-système ("System File Control"). Manip : [Démarrer|Exécuter|taper dans la fenêtre : "SFC"], si l'on n'a pas déjà créé un raccourci pointant dessus. Le programme s'ouvre. Demander une vérification : aussitôt, le logiciel mouline et compare les fichiers (programmes, bibliothèques...) dernièrement installés avec la table sur laquelle il a engrangé les caractéristiques des fichiers écrasés lors de ces installations. S'il trouve une différence de taille, de version ou de date, il l'indique. Que faire dans ce cas ? * Si la version du nouveau fichier est plus ancienne (se fier non pas à la date mais au numéro de version), restaurer la plus récente en indiquant si nécessaire dans la boîte supérieure le chemin d'installation : CD de Windows ou dossier sur le disque dur). * Si les fichiers sont identiques et que seule la date diffère (ce qui se produit après une réinstallation : certaines bibliothèques (fichiers *.dll) prennent la date de celle-ci), cliquer sur "mettre à jour les informations de vérification". * Si pour une même version, la taille diffère, cliquer également sur "mettre à jour les informations de vérification" : il arrive en effet qu'à la suite d'une réinstallation ou d'une intervention quelconque sur le disque (passage de FAT16 en FAT32, défragmentation...), les informations de taille consignées dans le journal de SFC soient erronées. De toute façon, en cas de modif, le logiciel propose de sauvegarder les fichiers écrasés, modifiés ou supprimés. Accepter : On pourra de la sorte les récupérer. Ils se trouvent par défaut dans le répertoire "C:\WINDOWS\helpdesk\SFC". Si après un redémarrage et quelques heures de fonctionnement, tout baigne, on pourra les effacer alors sans crainte. |
MARRE DE BIG BLUE ? Ou l'énervant syndrome de l'écran bleu |
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Marre de voir apparaître soudain sur votre écran, ce ciel bleu mensonger,
prélude à des perturbations baptisées "Erreur de protection générale" ou
"Système occupé"... ? Voici une solution (pas aux blocages, hélas mais tout du moins à l'apparence de ces écrans d'alerte, par défaut : écran bleu, message blanc). Elle est valable pour tous les systèmes Windows à noyau DOS (donc de Win 3.x à Win9.x et Win ME). Il suffit d'ouvrir le fichier SYSTEM.INI avec un éditeur de texte (ou bien d'ouvrir Démarrer|Exécuter", taper dans la boîte de dialogue MSCONFIG et afficher le SYSTEM.INI) pour y apporter cette modif : Aller dans la rubrique [386enh] et taper, en fin de rubrique, les deux lignes suivantes : MessageBackColor=6 |
Fermer tout, redémarrer. A la prochaine erreur système, vous verrez apparaître
un bel écran ensoleillé...
(message en noir sur fond jaune orangé). Les couleurs de 0 à 15
correspondent à celles utilisées pour la définition de la présentation
des menus personnalisés (paramètre menucolor=xx,xx)
Soit, de 0 à 7, teintes sombres : 0=noir, 1=bleu, 2=vert, 3=indigo, 4=rouge, 5=violet, 6=brun orangé, 7=gris De 8 à 15, les mêmes, éclaircies : 8=gris foncé, 9=bleu clair, 10=vert clair, 11=turquoise, 12=orange, 13=rose, 14=jaune vif, 15=blanc. Les teintes peuvent varier légèrement selon le type d'affichage et d'écran (cathodique ou LCD). |
COMPTEUR INTERNET | |
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Petit exemple de compte-rendu quotidien obtenu avec HitBox. Dans le cas précis, on note un pic de "hits" quotidiens le vendredi 28 décembre 2001, avec 102 visites. Détail intéressant, le relevé fait la différence entre les passages successifs du même surfeur sur une page et ceux d'internautes différents. En l'occurrence (rubrique "daily uniques"), on note qu'en moyenne 24 personnes différentes viennent chaque jour faire un tour dans la Forteresse (en passant par la page d'accueil où est située le compteur en question... un autre cumule les visites par accès directs aux pages - cliquer pour voir) et que pas un seul jour ne s'est écoulé sans visite. Pour ce qui est du pic horaire, le record reste toujours tenu pour l'instant par le dimanche 18 février à 18 heures : La statistique indique donc sans contestation aucune que ce jour-là, au moins 21 personnes ne regardaient pas Stade 2 :-). En revanche, les 11 janvier 2002 à 8 heures du matin, le guide à l'entrée a pu faire la grasse matinée sans devoir culpabiliser (:-'. |
ACCELERER WINDOWS ! | |
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Il existe quantité d'astuces pour accélérer le démarrage et le fonctionnement de Windows. En vrac : * virer la détection des lecteurs et les tests disque et mémoire dans le BIOS. (Si ça ne marche pas, vous le saurez dès le démarrage). * modifier le fichier MSDOS.SYS en stipulant :"Logo=0" pour supprimer les fenêtres Windows au lancement. * ne pas afficher les icônes avec toutes les couleurs (Propriétés de l'affichage | Effets). * supprimer les menus DOS au démarrage : exécuter | MSCONFIG | Général | Options avancées : décocher "Activer le menu démarrer". * supprimer les animations crétines -- feuilles et dossiers qui volent, disques qui tournent et autres périphériques voltigeurs (Propriétés de l'affichage | Effets). * réduire le nombre de programmes résidents au démarrage (Outils système | Utilitaire de configuration système | démarrage : décocher les programmes inutiles). * supprimer tous les raccourcis éparpillés sur le bureau et les placer dans une barre éclipsable en bord d'écran. Ne restent que les icônes système indispensables (mais qu'on peut également virer)... Il suffit de créer une barre de lancement rapide, qui sera placée dans le dossier : "C:\WINDOWS\Application Data\Microsoft\Internet Explorer\Quick Launch" On peut créer ensuite un raccourci vers ce dossier pour modifier, ajouter, supprimer à sa guise ladite barre. Pour rendre la barre de lancement éclipsable : clic droit dessus, décocher "toujours visible", cocher : "masquer automatiquement". Idem avec la barre des tâches, en bas : il suffit dès lors d'effleurer le bord de l'écran avec le curseur pour la faire réapparaître. Enfin un bureau propre et du travail en plein écran... Magique ! * réduire le nombre de polices (Panneau de configuration/Polices/Supprimer. Eviter en revanche de les transférer dans un autre dossier que c:\windows\fonts : elles seront toujours reconnues par le système, avec un chemin supplémentaire, ce qui n'allégera pas sa tâche et ira même à la rencontre du but poursuivi... * accélérer l'affichage des icônes et fenêtres : ajouter au registre une entrée MenuShowDelay="0" dans la rubrique : HKEY_CURRENT_USER\Control Panel\Desktop. * Nettoyer la base de registre : pour cela, un utilitaire canon (sans risque, gratuit et en VF -- mais on peut même le paramémétrer en hongrois ou en letton, si on y tient puisqu'il est multilingue) : EASYCLEANER. Un petit nettoyage de la base, un effacement des liens rompus, des entrées inutiles du menu démarrer, des fichiers temporaires, orphelins ou inutiles et Windows arrive (presque) à démarrer vite... | |
Mais l'un des moyens les plus efficaces est de reprendre la main à Windows pour la gestion de la mémoire virtuelle. Si vous avez des doutes ou des craintes, un utilitaire indispensable le fait à votre place. Il s'agit de CACHEMAN.
Un programme tout petit (630k zippé), qui ne prend pas de ressources et ne rajoute rien au système : il se contente de surveiller les paramètres mémoire et de faciliter la gestion de la mémoire virtuelle et des caches (en gros, les paramètres du fichier "system.ini"), les modifiant automatiquement en fonction des besoins (jeu 3D, travail graphique, enregistrement vidéo) ou de la configuration matérielle (quantité de mémoire vive, périphériques), etc. Par exemple, dans le cas d'utilisation d'un graveur : [386Enh] ConservativeSwapfileUsage=0 [vcache] MinFileCache=10240 MaxFileCache=10240 En plus, il est gratuit et la version 4.1 (avec une interface refaite) est disponible depuis début mars 2001 sur le site d'Outertech (version Windows 95/98). | |
Rambooster : Le Rambo...des Boosters de Ram :-)
On peut également opter pour RAMBOOST XP, de Gildas Le Bournault. Inutile de se prendre la tête, là non plus : le programme est gratuit, en français.Il s'installe d'un clic dans la barre des tâches. On peut le laisser paramétrer tout seul comme un grand est ou le régler par exemple comme indiqué ci-contre (en cliquant sur l'image). Les résultats sont assez bluffants sous Windows 98SE comme on peut le voir en passant la souris sur l'image ci-contre... (mais le logiciel est capable d'optimiser quasiment toutes les versions de Windows... et sans plantage !
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Dm Util
Un autre utilitaire bien pratique (et toujours gratuit) est DMUtil de DM Soft qui permet à lui seul de gérer toute une tripotée d'accessoires du bureau Windows : effacement de fichiers temporaires, gestion de la corbeille, du panneau de configuration, des imprimantes, des polices, du CD/DVD, création de raccourcis, démarrage... Tout est accessible d'un clic depuis la barre des tâches. Metapad Un autre moyen tout bête de soulager mémoire et ressources, c'est d'utiliser des programmes légers et malins (autant dire qu'il vaut mieux fuir dans ce cas les dinosaures cro$oftiens). Un exemple : Metapad, qui se substitue heureusement au calepin Windows. Gratuit, disponible en français (et en 24 autres langues...), plein de fonctionnalités et tout léger. Que demander de plus ? |
NETTOYER SES DOSSIERS TEMPORAIRES | |
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Les programmes Windows (et DOS) utilisent des fichiers temporaires, normalement effacés une fois les fichiers sauvegardés et/ou refermé le programme qui les a traités.
Selon le cas, ces fichiers peuvent être stockés dans un sous-dossier du programme qui les utilise. Mais le plus souvent, ils sont regroupés dans un dossier commun, défini dans l'autoexec.bat pour les fichiers dos et Win 3x, et dans le registre système pour les programmes 32bits.
Par défaut, les dossiers contenant les fichiers temporaires créés par les programmes DOS ou windows 16 bits se trouvent à la racine du disque, donc :
c:\temp
et celui des fichiers utilisés par Windows 9x (programmes 32 bits) en :
c:\windows\temp
Mais on peut fort bien récrire le path de l'autoexec.bat pour orienter tous les fichiers temporaires (temp et tmp) vers le répertoire c:\windows\temp
(Plus généralement, les entrées du registre concernant tous les répertoires temporaires de Windows sont regroupées sous :
Normalement, Windows efface automatiquement à la fermeture les fichiers *.tmp placés dans le dossier temporaire.C'est ce que définit l'entrée du registre :
HKEY_LOCAL_MACHINE\Software\Microsoft\Internet Explorer\Main
Mais il n'efface pas systématiquement les sous-dossiers créés lors d'un téléchargement ou de l'ouverture d'un fichier compressé zip. Par ailleurs, certains autres fichiers (journaux d'installation ou de fonctionnement avec l'extension log...) ne sont pas non plus effacés systématiquement. Et de toute façon, aucun ne sera effacé en cas de plantage et de redémarrage (puisqu'il n'y aura pas eu de sortie normale du système. Une astuce est donc d'ouvrir msconfig (touche fenêtre Windows+D,taper msconfig) et d'ajouter les lignes suivantes à l'autoexec.bat :
cd temp
Ainsi, tous les fichiers et surtout dossiers temporaires seront-ils automatiquement effacés au démarrage même si on a eu un plantage.
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PALETTE | ||
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En cliquant ici, on trouvera un tableau de correspondance des palettes de couleurs compatibles avec tous les navigateurs, assorti de leur code hexadécimal.
Un utilitaire bien pratique : HEXACOLOR, permet d'un clic de récupérer avec un pipette la couleur exacte d'une image à l'écran, puis de la traduire en code RVB ou hexadécimal. Mieux, on peut la convertir dans la couleur la plus approchante de la palette 216 couleurs...
Conçu par Nicolas Payart, l'auteur d'HTMLéditeur, ce petit utilitaire est gratuit pour un usage privé. On peut le télécharger ici.
(dernière version : v2.3 du 5/7/2003)
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RAFRAICHISSEMENTS |
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D'aucuns nous font parfois des remarques du genre : Pas mal, votre site mais on n'a pas trouvé les changements ou les ajouts annoncés ou bien : Ouais, y a juste que la date qui change, quand je recharge, c'est la même page depuis un mois ! ou encore : J'ai beau avoir vidé le cache, je tombe toujours sur la même page. Pour ceux-là, un conseil (valable du reste pour tous les sites que vous visitez). En-dehors du paramétrage de votre navigateur (fréquence de mise à jour des pages, vidange ou non du cache en fin de session), deux points sont à considérer : |
1/ même en cliquant sur "vider le cache sur disque", la page chargée à partir de ce dernier reste en mémoire vive à moins de clore la session et de rouvrir le navigateur.
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2/ Inutile de cliquer comme un parkinsonien sur la touche "reload", "recharger" ou "actualiser" de la barre de menu de votre navigateur. Avec des frames, la manip' ne fera que recharger le cadre de menu déroulant -- oui, celui qui est là, à votre gauche <<<<.
Pour recharger la page en cours, il faut placer le pointeur dessus, faire un clic droit (ou un clic long sur Mac) qui ouvre un menu contextuel et, dans celui-ci, aller cliquer sur "reload frame", "recharger le cadre" ou "actualiser" pour aller récupérer sur le serveur la dernière moûture de la page en question. Avec Opera, comme de juste, c'est encore plus simple : il suffit de faire F5 (le raccourci de rafraîchissement de toutes les pages Windows) pour une page isolée ou Alt-F5 pour une page de cadre. Voilà, voilà... |
DE NETSCAPE 6.0 A NETSCAPE 6.2 |
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Netscape 6.0 VF n'était pas vraiment top : l'affichage était devenu plus rapide, certes, mais le chargement bien plus lent, la gestion des bookmarks une vraie galère (un comble, alors que c'était un bon point de Netscape par rapport à Explorer) et surtout, cette version ne reconnaissait pas tous les tags HTML et réclamait des pages écrites en suivant strictement les chartes HTML 2.0 et 3.2 (en particulier, la gestion des liens relatifs genre "#top", "#back" ou des cibles comme "target=_blank" était des plus aléatoires... contraignant à bidouiller le code des pages.
Seul moyen de voir fonctionner les balises "top" (pour retourner en haut de page) pour ceux qui auraient encore cette version de Netscape : rajouter systématiquement en haut de chacune une balise <A NAME="top"></A> (et en faisant gaffe à écrire top entièrement en minuscules !) sinon, rien ne se passe...
quand la page n'est pas taggée : . Une fois le tag rajouté, tout baigne : . En revanche, aucun problème de ce genre avec Explorer ou Opera. La version définitive 6.1 VF de Netscape est donc disponible depuis fin août. On nous promettait un démarrage plus rapide. Certes, après téléchargement puis installation (conseillée dans un dossier différent, mais la récupération des signets, profils et préférences est automatique), le progrès est flagrant. Autre point positif, la gestion des signets est améliorée (ce n'est pas encore la réussite intuitive de Netscape 4.7 mais enfin bon). En revanche, le logiciel digère toujours aussi mal le laxisme dans l'ordonnancement du Javascript ou les "ellipses" dans la rédaction du code HTML. Au moindre écart, ça coince ou ça affiche bizarre. C'est sans doute pourquoi Netscape Composer (l'éditeur HTML intégré) continue de rédiger des pages bourrées de code redondant et superfétatoire (plus encore que FrontPage, c'est dire). Au point même que la FAQ sur le site de Netscape conseille de les "nettoyer" à la main. Ceux qui chteumeulent au Composer ne les avaient pas attendus... Et puis, toujours aussi crispant, cette "commercialisation" à tout crin, qui fait qu'il est quasiment impossible se passer des liens avec AOL (propriétaire désormais de Netscape) et de l'intégration avec ses logiciels, sans oublier le passage "publicitaire" obligé par un site d'i-business "partenaire" quand on clique sur l'aide en ligne ! Indication, après moult renvois, l'adresse exacte est celle-ci (cliquez et stockez-là, ça vous fera gagner du temps). |
Cela dit, le bilan est largement positif et grâce à l'utilisation du moteur d'affichage Gecko hérité de Mozilla, Netscape refait le retard pris sur Explorer depuis la version 5.0 du navigateur de Microsoft.
Entre autres améliorations : stabilité accrue, gestion de plusieurs langues, y compris le coréen, le chinois, l'hébreu (par téléchargement de modules annexes de petite taille) pour la présentation, l'affichage et la navigation. Une exclusivité, les trois sont séparés, ce qui permet, à la limite, d'avoir une version américaine, affichant en VO des sites israéliens trouvés grâce à un moteur de recherche géré en français... Idéal pour les cadres ou les diplomates en vadrouille. Dans les plus également, le téléchargement intelligent qui permet de limiter la taille du fichier d'installation (compter quand même 15Go et 1h45 en 56k dans la version avec Java2, Flash et Winamp mais sans Real Player 8 ni les modules Messenger, AOL, Net2Phone) L'installation se déroule en outre sans pépin en récupérant configuration et paramètres d'origine (mais pas les skins, incompatibles). On peut donc écraser sans remords la version 6, 6.01 ou 6.1 bêta. Autre point positif, l'option de démarrage rapide qui évite de s'encombrer de modules annexes inutilisés et d'accélérer notablement l'ouverture du logiciel. Ensuite, grâce au module d'affichage Gecko, le chargement et l'affichage des pages sont très véloces. La gestion des signets est accélérée (même si ce n'est toujours pas l'idéal), la récupération des favoris Explorer, rapide, et si l'on compte la majorité des fichiers d'aide enfin intégrés, on peut fort bien naviguer dès l'installation sans connexion intempestive pour communiquer avec le site de Netscape (ou des partenaires) et même sans redémarrage de la machine. Celui-ci n'est indispensable que activer Java 2, ce qui est optionnel. En effet, contrairement aux versions précédentes (et à Explorer), à condition d'avoir eu la sagesse de ne pas installer l'intégrale avec tous les modules annexes, on n'a pas à se connecter à tout bout de champ pour compléter, valider ou conformer l'installation, si l'on excepte, bien sûr, les plug-ins supplémentaires, les skins ou les modules de langue annexe. Cela dit, pour les plug-ins, la remarque faite ailleurs dans cette page reste valable. En revanche, avec la version 6.2 disponible en VF depuis fin novembre 2001, la compatibilité avec les recommandations du webconsortium semble avoir été nettement améliorée. Autre point positif, la mise à jour depuis les versions 6.0 ou 6.1 est très rapide, avec récupération parfaite de la config précédente, sans plantage ni nécessité de redémarrage. |
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Côté bidouille, bien m'en a pris de recommander GlobeX-Merc@toR, le navigateur des cadors, car un test de Netscape 6.0 a obligé le malheureux webmestre qui vous cause à récrire un bon paquet de pages pour cause d'incompatibilité foncière de certaines balises (#-[].
Tant qu'on y est, un conseil : allez dans le menu préférences de Netscape ("Edition Preferences | Aspect | Couleurs") ou d'Explorer ("Outils | Options Internet | Paramètres | Liens") et décochez la case "souligner les liens". Ca allège le téléchargement et ça améliore l'esthétique. Avec Explorer, on peut cocher "souligner les liens par pointage". Avec Opera, c'est comme toujours quasiment intuitif : il suffit d'ouvrir "Preferences | Présentation des liens" ("link presentation") et de décocher la case "souligner" ("Underline"). Ou, encore plus simple, de faire un clic droit sur un lien puis de sélectionner l'option "présentation des liens"... |
MIDI A SA PORTE |
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Vous voulez écouter (ou installer sur vos pages) des fichiers son ?
Voici quelques tuyaux pour configurer votre navigateur. Mine de rien, alors que les fichiers sonores WAV, MID ou MP3 sont monnaie courante depuis des lustres, il devient de plus en plus difficile de trouver des plug-ins gratuits et le comble est que certaines versions récentes des navigateurs ne sont même pas fichues de les lire en mode natif, au même titre que les images GIF, JPG ou PNG.
Donc, après moult essais, erreurs et échecs, voici quelques plug-ins légers, gratuits et qui fonctionnent sans flanquer le bouzin dans votre système. Vous pourrez donc garder vos Winamp, Napster et autres Quicktime ou Mediaplayer pour lire cartes-mémoire, CD, DVD ou fichiers du disque dur, même si certains de ces plug-ins peuvent également s'en charger. Mais leur fonction initiale est avant tout de s'intégrer discrètement à une page web sans ouvrir de fenêtres extérieures intempestives.
Passons donc en revue quelques solutions pour les trois navigateurs les plus courants :
Internet Explorer
Pour une fois, le navigateur de Microsoft prendrait presque la tête... La gestion midi est intégrée d'origine, utilisant le plug-in de Quicktime. La fenêtre de réglage basique est rien moche (un bête curseur sur fond blanc) mais le résultat efficace. On pourra toutefois le troquer avec profit contre le plug-in de Beatnik. Cela dit, suivant les navigateurs et les plug-ins installés, la commande des paramètres midi par la carte son va différer (nombre de répétition des boucles éventuelles, assignation des canaux sonores, etc.)
Netscape
Netscape jusqu'à Netscape 6.0
Netscape 6.1
Attention toutefois, pour qu'il fonctionne, il faut impérativement lors de l'installation, veiller à cocher les cases "lectures fichiers mid" et "fichiers MPEG", sinon, rien ne se passe. Aucun risque toutefois, comme c'est un plug-in dédié aux fichiers recueillis sur le web, il n'interfère pas avec vos autres lecteurs déjà installés. |
BUGS REPORT | |
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On l'a vu, certains navigateurs gèrent plus ou moins bien le cHTeMeuLeu (:,-<. Pleurons pas pour ça.
On peut toujours faire un tour (encore) chez HitBox pour voir la compatibilité entre les différentes versions de Mosaic, Netscape, Explorer, Lynx, AOL et Opera, mais ça ne résout pas tous les problèmes. Petit florilège : Pour les pages lues avec Netscape, rajouter systématiquement un <A NAME="top"> </A> (en laissant une espace) en début de toutes les pages pour valider les marqueurs "top" de retour en haut de celles-ci. Pour les pages lues avec Internet Explorer, lorsqu'on insère des liens internes, introduire au moins un caractère entre l'ouverture et la fermeture du tag, sinon, ça ne marche pas. Et au contraire de Netscape, une espace, même forcée (espace insécable) ne suffit pas ! "<a name=monlien> </a>" : pas bon. Il faut au moins un signe typographique : "<a name=monlien>.</a>" : bon. On peut cependant tricher en intercalant une barre horizontale ("<HR>"), un paragraphe ("<P>"), un retour ligne ("<BR>"), ça fonctionne, mais ça défrise le WebConsortium qui regimbe devant des balises enchassées à l'intérieur de liens. En revanche, Netscape et Opera savent pointer direct sur les liens internes du style "<a name=monlien> </a>" (avec espace) et Opera remporte la palme du bon bougre en acceptant les liens internes sans espace "<a name=monlien></a>" (tags collés) Pas simple, tout ça ! D'autant que ce genre de gag se répète avec quasiment toutes les balises et les tags HTML. Une astuce avec Opera : cliquer ! |
PROGRAMMES | |
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Astuce : télécharger ou installer CrystalFTP. Eviter CuteFTP (logiciel lent et glauque, propice an plantage, et qui se bloque de toute façon au bout de 30 jours si on ne raque pas 315 F. On lui préférera le graticiel Crystal FTP).
Autre programme sympa, CUTE HTML, gratuit, lui, qui permet (entre autres) de modifier plusieurs pages à la fois, mais surtout sait afficher en couleurs liens, images, commentaires, marqueurs et attributs. Un bon moyen de faire apparaître aussitôt les oublis et erreurs de syntaxe, mais aussi les différences et les incompatibilité d'un butineur à l'autre. Autre intérêt, l'affichage des liens d'une page et le calcul indicatif de la vitesse de téléchargement. En outre, le logiciel permet automatiquement d'insérer des liens avec le compteur de trafic HitBox. Une option que permet également AceHTML 4, de VisicomMedia, encore plus complet, avec gestion de Java, JavaScript, CSS et DHTML et qui se distingue par un correcteur de syntaxe HTML de bon aloi (mais pour le JAVAScript : peut mieux faire), un didacticiel très complet, et un correcteur orthographique multilangue très performant. La VO américaine est gratuite (il suffit de demander un code d'enregistrement sur le site de Visicomm). La version 4.4.30 est disponible depuis le 23 juillet 2001. |