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Un exemple d'une série consacrée aux auteurs/créateurs de science-fiction, dans le cadre d'une exposition commandée par le peintre Roland Grünberg en 1976. Ici, un portrait imaginaire de Michael Moorcock. La série comprenait également Jim Ballard, Michel Jeury, Peter Gabriel (pour The Lamb lies down on Broadway, cette dernière illustration, réalisée avec Michel Raynaud, était prévue pour accompagner une interview dans Galaxie). |
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Exemple d'un logo pour le journal du SELF, le Syndicat des écrivains de langue française. Anecdote : Quand j'ai présenté la maquette de la Une en réunion syndicale, mon vis-à-vis à la table m'a fait gentiment remarquer que j'étais tellement distrait que j'avais collé le titre à l'envers... Ce jour-là, j'avoue n'avoir pas été mécontent de mon palindrome (ou boustrophédon ?) graphique. Du reste, le syndicat a évolué mais le graphisme du titre n'a pas changé depuis. |
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Là, il s'agit d'une illustration pour une chronique que j'ai assurée pendant plusieurs années pour RAIL MINIATURE FLASH, la revue de modélisme ferroviaire. En l'occurrence, c'était pour le numéro d'avril, puisque comme chacun sait, la Compagnie internationale des Wagons-Lits n'a jamais été propriétaire que de voitures et pas de matériel de traction. Mais la CC 1300 des NS, les chemins de fer néerlandais (version export batave de notre célèbre CC 7100 Alsthom), avec ses filets et sa couleur bleue, m'avait inspirée. Après tout, il y avait bien des rames Trans Europ Express. Alors pourquoi pas des rames Wagons-Lits ? |
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Projet de couverture proposée pour la biographie de Douglas Adams « Surtout pas de panique » chez Denoël. L'illustration d'origine avait été prévue pour le tome 2 de la série, « Le Dernier Restaurant avant la fin du monde ». Le projet a été payé mais non publié. Snif. Cela dit, les lecteurs y ont gagné au change puisque la première édition du bouquin est sortie avec une illustration que j'avais demandée à Marcel Gotlib (que j'avais connu lors de mon passage-éclair à Fluide glacial). Gotlib s'était avoué ravi et flatté de ce choix car il était un grand fan de Douglas Adams mais il n'avait pas osé proposer ses services à l'éditeur. De son côté ce dernier n'avait pas osé lui commander une illustration, pensant qu'il était débordé et/ou hors de prix... Toujours est-il que son Marvin suicidaire, un grand moment graphique, est devenu un collector recherché car au gré des rééditions, d'autres maquettes et d'autres illustrateurs ont prévalu... |